Frédérique Corre Montagu

Frédérique Corre Montagu a deux casquettes : traductrice depuis 20 ans pour l’édition pratique, elle a traduit plus de 50 livres sur toutes sortes de sujet : développement personnel et spirituel, parentalité, bien-être, cuisine, déco… 

Elle est également autrice de guides pratiques et conceptrice d’albums souvenirs à compléter pour toute la famille : les jeunes parents, les grands-parents mais aussi les ados et les enfants pour lesquels elle crée des cahiers d’exercices autour de grandes thématiques comme les émotions.

Elle travaille pour Hachette Pratique, Robert Laffont, Larousse, Leduc, Hatier, 2 Coqs d’Or, Gründ, Le Dragon d’Or, etc.

www.frederique-corre-montagu.fr

Jean-François Haït

Jean-François Haït est journaliste depuis plus de 20 ans, dans le domaine des sciences et technologies. Il est diplômé de l’Ėcole supérieure de journalisme de Lille (ESJ) et titulaire d’une maîtrise de sciences de l’Université de Toulouse. Au service de magazines print et web prestigieux (Sciences et Avenir, Science et Vie, La Recherche, Journal du CNRS…), il pratique tous les genres rédactionnels (news, reportages, portraits, dossiers…)
Jean-François est également créateur de deux médias dont il a assuré la conception éditoriale et la rédaction  en chef : Exploreur, magazine scientifique de l’Université de Toulouse, et Kwantik, site web d’information scientifique en région Midi-Pyrénées.
Consultant éditorial pour vous accompagner sur toute la durée de votre projet de média quel qu’en soit le thème, de la conception à la réalisation ; il propose également la scénarisation de vidéos et la supervision des tournages, ainsi que l’animation de colloques et tables rondes.

Keraban

Keraban est une jeune marque de bijoux croisant savoir-faire artisanal et design contemporain créée par Noëmie Simard-Dupuis. Aux formes épurées et audacieuses, les bijoux Keraban allient l’élégance à la singularité. S’engageant en faveur d’une mode responsable, chaque pièce est entièrement conçue et fabriquée à la main par la créatrice elle-même dans son atelier de joaillerie indépendant.

Angélique de Joybert

Formée aux Arts Décoratifs de Paris où elle a développé son goût pour l’illustration, Angélique de Joybert dessine pour l’Edition, l’Edition jeunesse, les agences de communication et de publicité. Ses illustrations aux crayons de couleurs ou numériques font la part belle à la couleur et font rarement l’impasse sur un trait d’humour. C’est une nouvelle parenthèse s’ouvre à présent, elle renoue avec ses premiers amours : les pastels à l’huile. Rochers, cailloux, eaux cristallines, plages, algues, ruisseaux… les détails de la nature sont les sujets qui l’animent aujourd’hui dans ses toiles…

Loubna Mebrouk

Avec plus de 13 ans d’expérience dans le marketing et la communication à 360° (étude de marché, plan média, stratégie digitale, production de contenus, évènementiel institutionnel et culturel) elle intervient comme consultante, formatrice et chef de projet dans une stratégie globale.
Enthousiaste, intuitive et passionnée, elle accompagne autant les
entreprises que les entrepreneurs indépendants dans des secteurs d’activité très variés en s’adaptant aux contraintes du marché, au budget dédié et à l’équipes projet.
Quand elle ne pilote pas des stratégies marketing et des plans de communication, elle développe et anime depuis octobre 2020, un club d’entrepreneures féminin. Organiser des évènements professionnels pour favoriser l’entraide et la mise en réseau des femmes l’anime au quotidien et fait partie de ses enjeux personnels et professionnels.

Alexandra Pourcellié

Alexandra Pourcellié est directrice artistique,  forte de plus de dix années d’expérience, elle vous propose un accompagnement depuis la conception d’outils de communication jusqu’à la réalisation : création d’identité, illustration, conception de magazine, plaquette, webdesign… Sa marque de fabrique : des créations épurées et aériennes pour mettre en valeur vos projets.

Ariane Blanquet


C’est en faisant des travaux avec un ami qu’Ariane Blanquet découvre la mosaïque. Elle qui a toujours aimé faire des découpages et inventer des histoires retrouve le plaisir de créer des ensembles à partir d’une « profusion et d’une accumulation de fragments ». Elle se forme auprès de grands maîtres comme Toyoharu Kii et Marco De Luca, cherche des harmonies monochromes et use des techniques antiques avec une esthétique contemporaine dans des pièces à poser et des sculptures murales d’une grande sobriété. Le succès est au rendez-vous avec de grands chantiers à Toulouse, à Nimes, aux Antilles, au Maroc… 

En perpétuelle évolution, elle se nourrit de chaque rencontre, Marianne Castelly, Aline Lafollie, Julia Huteau, de chaque expérience pour ses échappées artistiques qui l’ont récemment ramenée à une autre de ses grandes passions : la céramique. Là encore, elle compose et assemble pour créer de façon intuitive et ludique, en dialogue avec l’enfant qu’elle était, des traits, des plaques ou des volumes modelés dans des couleurs primaires. Elle est particulièrement sensible à la magie du point et du trait – en porcelaine ou en fil coloré – qui se transforme en ligne puis en « gribouillis », forme, signe, mot… « Plus nombreux ils sont, plus c’est intéressant, ils prennent vie et créent leur monde » dont elle fait des installations et des parements muraux qui laissent place à l’imaginaire, aux sensations et aux émotions, et dégagent une luminosité et des accords apaisants et profonds.

Elle participe à de nombreux événements, symposium de mosaïque en Sardaigne, salon Révélations (Biennale internationale des métiers d’art et de création) au Grand Palais à Paris, Festival Terralha (Festival Européen des Arts Céramiques) à St-Quentin-de-la Poterie, exposition au Manoir des Renaudières à Carquefou en janvier 2024…

Qui sait où ses prochaines pérégrinations la mèneront ?

Maison Polin

Derrière Maison Polin, il y a Camille, formée aux arts appliqués et aux métiers d’art pendant cinq ans à Paris (ESAA Duperré et ENSAMAA Olivier de Serres), c’est à Bruxelles qu’elle poursuit sa route. C’est là, guidée par la volonté de lier ses compétences et son savoir-faire avec son engagement pour la slow fashion, qu’elle apprend la cordonnerie-maroquinerie pendant plus de deux ans auprès de deux maîtres-artisans. En 2020, elle s’installe à Toulouse et fonde Maison Polin, un nom sous lequel elle propose une gamme d’objets et accessoires en petites séries, du sur-mesure, un service de réparation pour des objets en cuir porteurs d’histoires et des workshops de fabrication.
Maison Polin est un projet axé autour de la revalorisation du cuir. Inspiré du concept japonnais du wabi-sabi et de l’esthétique qui en découle, la démarche créative mise en oeuvre part de la matière, accepte et sublime ses irrégularités et aspérités qui composent la singularité de la gamme d’objets proposés. De ce positionnement né une esthétique intemporelle et minimale qui célèbre l’aspect pratique, utile et quotidien et la simplicité apaisante des objets.